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la vie continue ... toujours !
29 mars 2017

Le chirurgien

 

Un petit effort pour Lakévio ! 

 

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J'étais un grand chirurgien capable de sauver des vies.!

J'étais un dieu , qu'est-ce qu'il en reste ?

Un  mendiant quêtant un regard.

Un instant infime,a suffit pour j' ôte cette vie que je devais sauver ! Que je devais sauver! 

J'avais prêté serment. :

"J'avais juré d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité.

Que même sous la contrainte je ne ferai pas usage de mes connaissances à mauvais escient.

Que je ne provoquerai jamais la mort délibérément.

Que je sois déshonoré et méprisé si je manque à mon serment."

J'avais juré et je me suis parjuré.

Je n'ai pas été condamné , non, l'aléas opératoire m'a absous.

On m'a même félicité pourr avoir tout tenté pour sauver sa vie .

Comment ai-je pû? 

Je n'aurai pas dû jeter un regard sur son visage ni sentir un éclair de haine m'envahir en pensant que cet homme, dont je tenais la vie entre mes mains, allait me prendre ma famille,ma  femme et mes deux merveilleuses petites filles.

Le hasard ou plutôt le destin, nous fait parfois commettre une erreur irréparable.Même un dieu est humain 

Un instant d'hésitation, si court que l'équipe méicale n'a rien vu a suffit. On fait confiance au grand homme!

Toute opération préssente un risque .

Mais moi, je sais !

Et ça me détruit.

Je ne pratique plus. Le remord m'étouffe ... et je bois pour oublier!

J'ai perdu ma femme et mes amours de fillettes que je viens, à l'heure de la sortie des classes voir ou plutôt apercevoir chaque fois c'est possible.

Je n'ose pas m'approcher j'ai peur de leur faire  honte et qu'elles voient ma déchéance!

 

 

 

 

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24 mars 2017

Je vous souhaite un bon week-end

Bn! Je suis obligé de convenir que les blogs sont une bonne chose.

La preuve, lorsque le moral n'est pas au beau fixe on laisse courir un peu et puis ça manque  et  au plus petit signe de mieux même infime, on revient partager. 

Je devrais dire papoter.

Aujourd'hui Eric a laissé le centre équestre sous la pluie pour venir voir son père. Il a juste pû arriver à la maison avant que sa voiture ne le lâche!

Le filtre a huile (pourtant pas vieux) s'est fendu. à Soulac le vent est le sel mettent rapidement les véhicules à mal. 

Heureusement notre petit garagiste (celui chez qui je fais essence et pars sans payer!) a eu la gentillesse de le lui changer dans la journée.

Inutile de préciser que sitôt au courant, ses deux frères se sont invités. Comme nous avions déjà Jordan ils ont dû partager le menu, parce-que, vraiment, cette fois, je n'avais pas grand chose à mettre sur la table et pas le temps de décongeler. Comme une andouille je n'ai pas même pas eu l'idée d'ouvrir deux pôts de conserve! C'est le comble, !!! 

C'est pas grave. Ils s'en sont contentés. Ça a été court mais bien agréable. Jordan est adorable, il m'a donné un coup de main pour débarasser. On voit qu'il a l'habitude. Elle a de la chance sa petit copine (Juliette) il n'a rien contre les courses ou le ménage!

Le jour était bien choisi. Robert était un peu mieux, il a apprécié de parler avec les fistons.

 

J'ai écrit cette première partie de note mais je ne l'ai pas terminée le jour même  parce-que le mieux n'a pas duré longtemps.

Pas plus grave, la récupération se fait trop lentement, le potassium fiche le camps donc, très grosse fatigue.Mais il a assez de force pour ronchonner en écoutant les infos!

Finalement l'inspiration me fait défaut.

Je  termine  donc juste pour vous dire un petit bonjour. 

Je vous souhaite un bon week-en! 

 

 

 

 

9 mars 2017

Temps mort !

Ces jours-ci, je ne parviens pas à écrire une note.

Pendant quelques temps, je n'écrirai donc  pas, mais, je vous lirai chaque jour.

... et sauf mauvaise journée, je commenterai.

Ne pas le faire me manquerait trop !

A moins que, subitement l'envie ne me reprenne!

Ce qui est très possible !

Ça dépendra ... de l'air du temps ! 

 

7 mars 2017

J'avais l'esprit ailleurs...

La fin de semaine a été un peu difficile.Robert pas trop en forme.

Aujourd'hui Scanner , reconsultation lundi , des choses à discuter.

Ceci explique que je n'ai pas eu d'idée (d'envie) pour écrire chez Lakévio.

Un peu comme Lili!

Bref, en rentrant je suis allée chercher le pain au Proxi.

J'en ai profité pour aller faire essence à la station.

Evidemment j'avais l 'esprit ailleurs.

Il pleuvait assz fort.

Vite, je fais le plein , et... aussi vite , je monte dans la voiture ... et je repars!

A midi, nous sommes à table à papoter avc Jordan (enfin, c'est surtout lui qui pérore!) , lorsque l'on sonne.

Je sors et un homme que je crois reconnaître comme le marchand de pommes-de-terre qui passe de temps en temps, me dit:

-Bonjour! Vous avez fait essence et vous êtes partie sans payer!

C'était vrai ! Fou-rire de nous deux. En fait c'était l'mployé de la station coiffé d'un bonnet noir. Pour vous dire combien  je suis peu physionnomiste.!!!! Il me connait bien, la station se trouve au bout de notre rue  et je m'y sers toujours! 

En repartant au travail , pour ne pas que je sorte sous la pluie, Jordan s'est arrêté pour régler la note!

Je n'ai pas fini d'en entendre parler !

 

2 mars 2017

Suite de la note du 22 février

Pas trop d'idée ou pas trop envie d'écrire aujour'hui.

Mais comme je suis une brave fille, je ne vais pas vous laisser , si vous passez chez moi, sans rien à lire.

Quoique , les blogs,  blogueurs et blogueuses ne manquent pas!

Je vous avais parlé des frasques de mes fistons.  

Voilà la suite.

Encore aujourd’hui, je me dis  que nous avons eu  beaucoup de chance. Ils n’ont jamais été vraiment blessés.

Il faut croire qu’une bonne étoile veillait sur eux !

Nous en avions eu la preuve une fois de plus, lors de l’épisode qui va suivre et qui mérite bien que je lui ai réservé une note entière. 

Après la mésaventure  de la Fuego, j’avais donc prêté ma Simca 1510 à Bruno.

Tout bien réfléchi, je n’ai même pas eu le temps de m’habituer à dire : Ma voiture !

Pascal avait alors, encore son fourgon.

Toujours un samedi soir, ils sont sortis en boîte. Chacun avec son véhicule.                              

Vous me direz qu’ils auraient très bien pû  n’en utiliser qu’un seul, mais, non !

Ils n’étaient jamais certains de rentrer en même temps et ne voulaient pas être trop tributaires l’un de l’autre.

Sans compter que le fourgon était bien utile.

 Un vrai petit appartement miniature que Bruno aimait bien faire visiter au cours de la soirée à certaines de ses conquêtes.

Il fallait replier la table et le siège pour faire apparaître le lit très confortable. 

Je crois bien ne l’avoir jamais vu avec le coin repas installé.

Le lit y  régnait en maître.

Question d’utilité si vous voyez ce que cela sous-entend !

Donc, ce soir- là,ou plutôt , ce matin là, après une soirée (vraisemblablement bien arrosée)  ils ont pris, l’un suivant l’autre, le chemin du retour, pressés de regagner leurs lits.

Bruno roulait devant.

Deux voitures le suivaient. Une troisième conduite par Jacky, leur copain, venait ensuite et  Pascal fermait le cortège. 

Une voiture conduite par deux jeunes filles, doublant la file roulait à la hauteur de Bruno lui faisant de grands signes amicaux.

Arrivées au feu rouge, les demoiselles ont freiné, Bruno aussi, mais de telle façon  que la voiture a fait deux têtes à queues pour terminer sa course dans une grange en bois.

Les deux voitures suivantes sont parvenues à s’arrêter, Jacky aussi qui s’est hâté de sortir de son véhicule, faisant de grands gestes afin d’avertir  Pascal de faire attention.

Mais celui-ci n‘a pas pu s’arrêter et faisant un écart pur éviter lss véhiculs arrêtés, s’est littéralement encastré dans le poteau électrique en ciment qui se trouvait sur le trottoir ! 

Le bruit a évidemment réveillé les riverains, très inquiets parce-que, nous l’avons su plus tard, ils avaient déjà été tiré de leur sommeil la semaine précédente par le choc d’une voiture qui avait heurté le même poteau.

Le conducteur en était mort. Ils ont appelé les secours.

La gendarmerie est arrivée avec l’ambulance.

Le choc avait projeté Bruno dans la malle. Un pied avait perdu sa chaussure. Il était sonné

Il a été chargé dans l’ambulance.

Pascal, s’est retrouvé avec le devant et tableau de bord  du fourgon avancés jusqu’au siège et il est incompréhensible qu’il n’ait pas eu les jambes broyées ! 

Pendant que les gendarmes s’occupaient de lui qui avait quand-même fracassé le pare-brise avec sa tête, l’ambulance démarrait juste avec Bruno. C’est alors qu’ils ont vu jaillir tel un diable sortant de sa boîte, Bruno, qui, revenu à lui et ne voulant surtout pas être conduit à l’hôpital pour un alcooltest, avait envoyé son poing dans la figure de l’ambulancier et écartant violemment les portes arrières , d’un bond, s’était étalé  sur la route ! 

Pascal a dû signer une décharge pour  que son frère ne soit pas emmené à l’hôpital.

Les gendarmes y perdaient leur latin pour remplir les constats, puisque les noms des conducteurs étaient les mêmes.

Ils ont mis un moment pour comprendre que le premier véhicule et le second avaient les deux frères pour conducteurs, d’où le même nom !

Le copain Jacky les a ramenés chez nous.

Bruno souffrait d’un bras et d’une multitude de petites plaies provoquées par les éclats de verre du pare-brise sur le visage. 

Pascal commençait un peu à enfler au niveau du visage.

Robert les a fait mettre en caleçon pour les examiner sous toutes les coutures.

Inutile de dire que le reste de la nuit a été court et le sommeil léger.

Le dimanche Pascal devait aller ouvrir la remorque friterie sur une fête foraine.

Lorsqu’il a fallu le réveiller, quand j’ai ouvert la chambre, il a demandé : Allume la lumière !

Sauf que c’était déjà fait !

 Son visage avait tellement enflé, que ses yeux en étaient complètement fermés. Il n’y voyait plus goutte !

Robert a décidé de le conduire à l’hôpital.

J’ai décidé d’aller le remplacer sur la fête foraine.

Robert, inquiet pour Pascal, a décrété, sans pitié pour ses plaies, bosses et courbatures diverses, que Bruno m’ accompagnerait !

Petit à petit la colère le gagnait !

Malgré son envie, Bruno n’a pas tenté de discuter !

Il a assuré et s’en souvient doublement : à cause de ses blessures et surtout, parce - qu’il a toujours eu horreur de ce genre de travail !

Que ce soit avec Pascal ou avec Eric, il fuyait les fêtes foraines comme la peste !

Je crois bien que c’est la seule fois où il a manipulé la louche et la pâte à crêpes !

L’un et l’autre s’en sont remis sans séquelle 

Ils ont vraiment eu beaucoup de chance sur ce coup !

C’est un souvenir qui nous perturbe encore lorsque l’on  y pense.

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