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la vie continue ... toujours !

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la vie continue ... toujours !
19 mars 2013

Ils ont grandi quand- même !

 Hier soir, tard, un coup de fil nous informe que le petit fils est bien arrivé en Suisse. Nous avons pû dormir tranquilles !

Ce midi, juste avant le repas, le mari était sur le canapé et toussait. Ces jours-ci, il tousse pas mal.....et j'ai voulu jouer au docteur ! Non,! pas comme vous le pensez! au vrai docteur! Un peu de respect jeunesse !!J'ai voulu écouter si celà ronflait dans sa poitrine ! Alors, je me suis penchée sur lui mais mes chaussons sur le carrelage ont glissé et je me suis retrouvée à genoux et la tête sur ses genoux à lui ! Vous imaginez  la scène ? Résultat, nous avons été pris d'un incoercible fou-rire comme nous n'en avons pas eu depuis très longtemps!J'ai fini assise par terre !!! Et , impossible de recommencer tant nous riions! Je ne sais toujours pas si sa poitrine ronfle ! Je vais laisser cet examen pour la prochaine visite du docteur !

Et vous laisse lire mes essais littéraires suivants.Si vous le voulez bien !

 

 

 

                       Ils ont grandi quand-même !

 

 

 

C’est bien connu, les enfants n’écoutent jamais les conseils. Ils ont grandi quand même !

Après la maternelle, le primaire. Aucun problème en ce qui concerne l’aîné, pas de soucis. Eric était un petit élève sérieux et studieux. Le second avait davantage de facilités mais n’en faisait pas plus que nécessaire. Aujourd’hui une mauvaise note, demain une excellente pour rétablir l’équilibre, passant tranquillement, ainsi, d’un cinq à un dix-huit sur vingt ! Pascal, quand à lui, nul en math, excellent en français, était beaucoup plus intéressé par le foot que par les études.

Donc, durant cinq ans, la vie a continué comme pour bon nombre de parents de jeunes enfants.

Une étape de plus à franchir lors de l’entrée au collège. Eric, comme les années précédentes avait les notes très correctes que lui valait un travail consciencieux. En troisième son dossier d’orientation nous posa quelques soucis, car il espérait devenir taxidermiste. Renseignements pris, il n’y avait pas de centre de formation près de chez nous. Le taxidermiste que nous connaissions, puisque c’était lui, qui, depuis des années, naturalisait les oiseaux que nous offrions à Eric lors de chaque occasion (Noëls, anniversaires, récompenses diverses…) nous découragea en ne nous montrant que le côté négatif de la profession. Avec le recul, nous nous sommes rendus compte qu’il en avait vraiment rajouté ! Donc, prenant en compte le choix de notre fils et les connaissances déjà approfondies qu’il possédait concernant la nature et les animaux, nous l’avons inscrit au Lycée Agricole, option générale.

Pour Bruno, cela ne fut pas très facile. Comme il était extrêmement doué en dessin, son professeur nous conseillait de lui faire redoubler sa troisième car il était trop jeune pour pouvoir entrer aux beaux- arts.  

AUX BEAUX-ARTS ?

Alors, là, ce fut une autre affaire ! Son père n’était absolument pas d’accord. Ce n’était pas une option envisageable ! Réussite beaucoup trop incertaine ! Jamais, même avec un an ou deux de plus, nous n’enverrions notre gamin fréquenter ce milieu artistique ! La bohême, c’est bien joli, mais dans la chanson ! Pour le retrouver ensuite, barbu, fauché et les cheveux longs ! D’ailleurs, c’est bien connu, les artistes peintres ne sont célèbres qu’après leur mort !  Gros dilemme, car c’était vrai, Bruno avait vraiment une grande prédisposition pour tout ce qui est du domaine artistique. Il avait déjà un dossier de dessins, qui, selon son professeur, était excellent. Nous avions donc, en désespoir de cause, décidé de lui laisser redoubler sa classe de troisième (de toutes- façons, il n’avait jamais redoublé) après nous verrions bien ! Le temps porte conseils.

Lorsque, tout à fait par hasard, je suis tombée sur l’annonce d’un atelier de graphisme, qui recherchait un apprenti (un dossier de dessins était souhaité) et proposait en outre, une formation de photograveur. N’ayant rien à perdre, sans trop d’espoir, j’envoyais immédiatement une demande de rendez-vous. Peu de temps après, un courrier nous convoqua pour un entretien.

Nous y avons accompagné notre fils. L’entretien s’était plutôt bien passé. Le propriétaire de l’agence avait conservé le dossier de dessins de Bruno et devait nous tenir au courant. Quelle ne fut pas notre surprise lorsqu’une lettre nous a informés que sa candidature avait été retenue parmi plus de vingt-cinq postulants, beaucoup plus âgés que lui. La joie de notre fils à cette annonce était sans limite.

Il faut dire que Bruno était très petit et menu. Imaginez un peu : à quatorze, je l’habillais en douze ans maximum, et encore ! De plus Robert avait été très catégorique. Aucun problème en ce qui concernait les heures de travail à condition que Bruno prépare sérieusement le CAP de photograveur, en plus de la formation de graphiste, et que, dans le cas d’heures supplémentaires, elles soient récompensées. Toute peine mérite salaire. J’avais trouvé qu’il était un peu sec, mais au moins les choses étaient claires !

Nous avons dû passer par l’Inspection Académique pour obtenir l’autorisation de signer le contrat d’apprentissage, (où d’ailleurs, on m’a demandé si je n’avais pas honte de jeter mon enfant, si jeune dans le milieu du travail !). Fort heureusement, la conseillère d’orientation nous a été favorable.

Ce CAP se préparait en trois ans et Bruno l’a obtenu en deux. Son employeur l’a gardé comme graphiste. Dans les années quatre-vingt, un graphiste ne travaillait pas sur ordinateur, surtout pour la création, en particulier, d’étiquettes de vins, alcools, sirops ou tout autre produit devant être étiqueté . Le travail se faisait à la main à l’aide de pinceaux aussi fins qu’un cheveu ou de plumes. C’était vraiment un travail nécessitant, outre un talent certain, beaucoup de précision et un réel esprit créatif. Pour cette dernière année, considérée comme sa dernière année d’apprentissage (par décision de l’inspection académique en raison du jeune âge de Bruno, et ce malgré l’obtention de son CAP) son employeur lui a octroyé une prime de dix pour cent sur le montant de chacune de ses créations acceptées par le client.

 Comme son style était très apprécié, il s’est retrouvé très tôt, à bien gagner sa vie.

Puis, est venu le tour de Pascal !

A part en français et en sport, pas de quoi pavoiser quant à ses résultats scolaires. J’ai d’ailleurs appris plus tard, que mon petit dernier n’était pas le petit ange que je voulais absolument voir en lui. Evidemment ! Je ne me souviens pas qu’il m’ait ramené de mots des professeurs ou de mauvaises notes. Pour la bonne raison, que Bruno a pour son frère, utilisé son talent (il est le seul à savoir reproduire ma signature) Il signait donc, allègrement, à ma place, les punitions de son petit frère !

Donc, Pascal ne voulait pas continuer les études. Il voulait travailler. Contrairement à son frère si menu, il a toujours été très charpenté, robuste, attiré par le sport et l’effort physique, fier de son endurance. Son père n’a pas discuté longtemps. Jugez-en :

 

Son père :                         

 -Tu veux vraiment travailler ?

Pascal :                              

-Oui !

Son père :                        

 - Que veux-tu faire ?

Pascal :                              

-Comme toi, plombier.

Son père :                        

 -Tu es sûr de ton choix ?

Pascal :                             

 -Certain !

Son père :                        

-Tu as bien réfléchi ?

Pascal :                            

 -Oui !

 Son père :                       

-Bon !

 

La semaine suivante :

Son père :                     

-Je t’ai trouvé un patron, tu commences lundi.

Pascal      :                     

-Lundi quand ?

Son père :                    

 -Lundi prochain.

Pascal :                          

 -Mais, le collège s’arrête jeudi !

Son père :                       

-Eh ! Bien ! Il y a un problème ?

Pascal :                            

-Mais, c’est les vacances !

Son père :                       

-Tu veux travailler ou continuer les études ?

 Pascal :                          

 -Travailler, mais…

 Son père :                     

-Il n’y a pas de mais, tu embauches lundi ! Tu auras droit a deux jours-et-demi de congés par mois. 

      

Et voilà !  Bien que je synthétise un peu, cela c’est à peu près passé ainsi !

 

Du Robert pur jus !!! 

x

 

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18 mars 2013

Bienvenue les enfants !

 

 Journée tranquille!  Les giboulées sont là!!!  Entre averses, grêle et soleil lumineux , la chansonnette que

l'on chantait enfant me revient en tête :                  

 Il pleut, il fait soleil!

Le diable bat sa femme,

A grands coups de bâtons,

Vive Napoléon,

Le diable est un cochon!    

 averse

 

 

                         Bienvenue les enfants 

 

 

Des trois enfants qui nous sont nés, Eric en est l’aîné. Cela lui a valu le grand honneur d’avoir en deuxième prénom, celui de son père : Robert.

Le second, Bruno, est né trois ans plus tard. Si Eric est arrivé parmi nous avec un mois d’avance, son frère, lui, sans tenir compte de notre impatience (surtout en ce qui me concerne) a allègrement dépassé la date prévue pour sa naissance de plusieurs jours.

Puis, alors que je prévoyais de reprendre un emploi car nous avions engagé les démarches pour acheter une maison, qui pointe le bout de son nez ? Pascal ! Seulement seize mois après Bruno ! Lui aussi, est né prématuré, à huit mois.

Parfois, maintenant que c’est un homme, lorsqu’il me taquine (tout en s’en réjouissant) au sujet de mon chauvinisme maternel, je l’appelle l’accident. Heureusement ! Il a le sens de l’humour ! Je confirme d’ailleurs qu’il a été la cerise sur le gâteau, un bonheur de plus !

Tous les trois ont grandi sans nous donner de soucis particuliers concernant leur santé, hormis les inévitables : varicelle, rougeole, rhume, otite, appendicite etc… le lot des parents privilégiés par un sort charitable qui leur a donné des enfants pleins de vie et de santé.

Nous avons emménagé dans notre nouvelle maison, fiers de devenir propriétaires, même si toutes les pièces n’étaient pas meublées, si nous n’avions pas de télévision et encore moins de voiture ! Par contre, je me souviens très bien que j’avais veillé à garnir les fenêtres de très jolis rideaux, ce qui, aujourd’hui, ne me semblerait pas la priorité !

Et je suis devenue une : femme au foyer !

En fait, tout bien calculé, les frais de garde des enfants auraient englouti le salaire que j’aurai pu gagner en travaillant.

Bref ! Lorsque l’on donne le jour à ses enfants, on se focalise avant tout sur leur bien-être et l’on se dit : l’an prochain, l’aîné ira à l’école, le second sera propre et le petit dernier commencera à marcher. On attend toujours quelque chose, pressée de les voir grandir. Grave erreur ! Vous vous en rendez-compte lorsque vous conduisez votre petit dernier, votre bébé, pour son premier jour de maternelle. Pour lui, tout se passe bien, il est si souvent venu avec vous accompagner ses frères à l’école, qu’il attendait ce jour impatiemment, tout fier de pouvoir y aller à son tour. Mais vous ! Vous vous retrouvez devant le portail fermé, après avoir laissé votre petit bout- de- chou qui n’en menait quand- même pas large, à la charge de sa maîtresse, sans vous décider à rentrer chez vous. Pourtant, le ménage vous attend. Vous pensiez qu’enfin, sans enfant à surveiller, vous alliez pouvoir vous atteler au nettoyage à fond d’avant l’hiver. La maison allait briller comme un sou neuf ! Eh ! bien ! Pas du tout ! Dans la maison vide et trop silencieuse, vous surveillez les aiguilles de la pendule qui semblent avancer au ralenti. Puis, vous vous retrouvez devant l’école avec une bonne demi-heure d’avance, pour récupérer votre progéniture. Vous n’êtes d’ailleurs pas seule. Vous êtes en compagnie des autres mamans, qui comme vous, déclarent d’un air pénétré : cet après-midi, je garde mon enfant à la maison, il doit être fatigué ! De toutes- façons, on leur fait faire la sieste, autant qu’il dorme dans son lit ! Et vous rentrez chez vous, avec au moins, le dernier de vos poussins, en attendant seize- heures-trente pour récupérer la couvée complète. Il vous faudra bien deux semaines pour vous habituer. Ce ne sont plus vos bébés, ce sont vos enfants et ils grandissent vite, trop vite !

Si vous êtes jeunes mamans et que vous lisez ces lignes, croyez en mon expérience. Voir ses enfants s’éveiller un peu plus chaque jour, est un grand bonheur, ne soyez pas trop pressées de les voir grandir ! Le temps passe si vite !  

17 mars 2013

Entrée en matière...

 

 Alors que je m'occupais à coller un autre texte , (ancien) ma voisine (autrement dit ma belle-fille Murielle) vient de nous toquer à la vitre pour nous donner quatre petits délicieux gateaux qu'elle venait de cuisiner; Je sens que ce nouveau voisinage va être très agréable  !!!!

 Ce soir, c'est  toasts grillés à la sardines!  Ça promet  !!!!   Trop gentils !!!!

Moins bien, Jimmy repart en Suisse, en voiture! Vivement demain soir que nous soyons sûrs que le voyage s'est bien passé !

 

                                Entrée en matière

 

La première feuille (extraite du tiroir) consiste en quelques lignes écrites un matin de printemps. Je ne saurais dire en quelle année, mais je retrouve intact le sentiment de plénitude qui m’habitait alors. Je la recopie telle qu'elle.

« Ce début d’avril, la maison dort encore. Robert est déjà parti au travail. J’ai toujours apprécié en cet instant où la nature s’éveille, de prendre mon petit-déjeuner seule. Dans le silence du matin, j’ai ouvert la porte vitrée du séjour et le soleil printanier illumine l’air encore frais. Notre chienne est venue se coucher sur la marche de la terrasse, presque à mes pieds. La tête appuyée sur ses deux pattes de devant, elle me regarde  et ses yeux semblent me dire bonjour. Je peux y lire toute la fidélité et la confiance qu’elle témoigne à notre famille. Pourtant, je sais que ce même regard est encore plus intense lorsqu’il se pose sur son maître, son dieu, avec qui elle partage de si merveilleuses parties de chasse. Lors de ces instants, plus rien ni personne ne compte !

C’est la saison où les oiseaux nichent. Je les vois entrer puis ressortir de la haie du voisin. L’air s’emplit de chants divers et toute cette agitation est un plaisir pour les yeux. Je ne dirai pourtant pas que c’est un ravissement pour les oreilles. Je sais bien que certains parlent du doux gazouillis des oiseaux, mais ils n’ont jamais entendu, seulement deux moineaux, se disputer la miette ou la brindille que chacun voudrait ramener à son nid. Rien d’harmonieux ! Multipliez cela par dix ou quinze passereaux et vous entendrez un sacré vacarme ! Parfois, les merles noirs sont de la partie, à eux l’avantage de la taille !

Dans quelques minutes, les enfants vont s’éveiller pour aller en classe et la maison va s’agiter. J’avale une dernière gorgée de café (au lait) puis me lève de ma chaise. Je puise dans ces instants de solitude matinale et j’y trouve mille raisons d’être heureuse. J’ai les plus beaux enfants du monde et un mari que j’aime.

Oui, c’est une belle journée qui s’annonce et je me sens débordante d’amour et d’énergie. Au travail !

Lorsque je relis ces lignes, je me souviens qu’effectivement, j’ai souvent ressenti au fil des années, l’impression que la vie était pleine de promesses. Aujourd’hui, je me demande quelles étaient les raisons de cette confiance dans l’avenir. Peut-être notre jeunesse tout simplement, ou encore la faculté que nous avions de vivre avec toujours un projet, une envie, un espoir. Cette envie d’aller de l’avant était logique, puisque, à notre époque, nous démarrions dans la vie avec presque rien. Le plus petit achat nous apportait beaucoup de joie et nous procurait un réel sentiment de fierté, car nous devions travailler très dur et économiser longtemps pour l’obtenir.

C’est incroyable ! En me relisant, je me rends compte que mes pensées rejoignent peu à peu les paroles que nous répétaient nos parents et qui nous agaçaient tant : « de notre temps, on était plus heureux, nous savions nous contenter de peu de choses et l’on savait les apprécier ! »  et s’ensuivait la sempiternelle litanie des heureux moments de leur passé. Est-ce déjà notre tour d’idéaliser et de regretter notre jeunesse, notre foi dans l’avenir et notre vitalité ? Tout ce qui donne l’impression d’être plus vivant !

Au diable, regrets et nostalgie et reprenons le fil des souvenirs aux jours bénis qui ont vu naître nos trois garçons. 

17 mars 2013

Mes premiers écrits......

 

 Vos commentaires me disent que je ne risque rien à revenir sur mes débuts de blogueuse, alors, je m'y lance !Je reviendrai au jour présent lorsque j'aurai quelque chose à dire d'actuel !!!  

 Lorsque j'ai commencé sur mon blog, je numérotais mes notes : essais n°1, essais n°2.......et Lili m'a conseillé de plutôt leur donner un titre et j'ai trouvé qu'elle avait raison. Donc, j'ai suivi son conseil! 

Je pensais: je vais devoir tout retaper, puis je me suis rendue compte qu'il  est possible de coller  un texte écrit sur Word. A force de cliquer un peu partout, je découvre toujours de nouvelles fonctionnalités et, parfois, j'arrive à les mettre en application ! Parfois aussi, je crée de nouveaux problèmes comme dernièrement où les commentaires ne me parvenaient pas ou disparaissaient ! Le Goût a raison de  dire que l'on pourra me traiter de fainéante ! Bon! tant pis! j'assume !  

 

                                     Aant-Propos...

 

Voilà maintenant deux mois que je me suis offert un ordinateur. Je me suis décidée, un vendredi, et, dans la foulée, le lendemain, je suis partie avec ma belle-fille pour me conseiller puis, nous sommes revenues avec l’outil en question. Après quelques après-midi de laborieuses leçons délivrées par Murielle, je peux l’utiliser. Cela malgré quelques maladresses, corrigées manu-militari par ma patiente professeur qui rapplique illico à mon moindre appel (et, croyez- moi, elle a du mérite puisqu’elle habite quand-même à dix kilomètres de chez nous). Tranquillement, elle corrige mes erreurs, me les explique, remet le machine en ordre, et repart, me laissant seule, faire mes essais en toute décontraction, jusqu’au prochain SOS de ma part.

Actuellement, je me débrouille mieux, bien que je sois très loin d’être une experte ! Pourtant, cela suffi à mes besoins pour l’instant. Je peux communiquer avec mes enfants, voire, mes petits-enfants. A moi les parties de cartes, les envois et réceptions de messages, photos ou histoires amusantes ou poétiques. Tout me distrait et m’intéresse tel un enfant avec un nouveau jouet ! Il est évident, qu’à mon âge (70 ans) internet est pour moi plein de secrets.

Voilà pourquoi, l’époque de la retraite laissant beaucoup de temps libre, l’idée de reprendre l’écriture me vient à l’esprit. J’en avais déjà eu des velléités et puis les évènements de la vie m’ont montré que je n’en étais pas capable, ou que je manquais de volonté !  Alors, j’ai laissé tomber papier et stylo et rangé mes brouillons dans une chemise, oubliée depuis au fond d’un tiroir. Dernièrement, le second de mes fils a mît la main sur mes modestes essais. Se disant très agréablement intéressé et déçu que je ne continue pas d’écrire, il a pris la relève.

A son tour il a rempli beaucoup de pages blanches, a eu la gentillesse de me les confier à lire et, au fil de cette lecture retraçant les évènements de sa toute première jeunesse, j’ai compris pourquoi j’ai cessé d’écrire sur ma famille, car, bien sûr, comme toute débutante, le principal de mes envolées littéraires avaient trait à ma vie familiale. Voici quelques lignes  me concernant, extraites de ses écrits et qui m’ont donné sujet à réflexions.  Je le cite :

«  L’obligation  pour l’auteur  qu’elle serait de divulguer les bons moments et les émotions fortes de notre vie, ne lui pose aucun problème. Les coups durs du destin, incontournables, peuvent être racontés sans honte de façons à dépeindre les caractères des acteurs de notre histoire. Mais, comment pourrait-elle décrire et détailler son analyse de certaines périodes, récentes ou pas, qui donnent de ses enfants une image peu valorisante ? La solution serait de mentir et de dissimuler son sentiment réel. Hors de question ! Elle ne saurait pas ! »

A cette lecture, j’ai réalisé que se trouvait là, la raison du blocage que j’éprouvais, m’empêchant d’écrire sincèrement et je crains bien que les choses n’aient, hélas pas changées !

Dans le gentil « ce que tu peux être chauvine dès qu’il s’agit de tes enfants ou petits-enfants ! » que me lancent souvent mes fils, je dois reconnaître qu’il y a beaucoup de vrai. Attention ! Cela ne veut pas dire que je suis incapable de porter un jugement clairvoyant sur le comportement de ma progéniture, leur assénant, parfois, dans l’intimité quelques vérités peu agréables, mais je ne supporte pas, que d’autres, se permettent, en ma présence, la moindre remarque désobligeante à leur sujet. Ou a alors, il faut vraiment que ce soit dit avec une grande finesse ! D’ailleurs, même dans ce cas, je me découvre un réel talent d’avocat.  Pour justifier mon opinion favorable les concernant, mes explications, parfois, pourraient figurer comme un modèle de plaidoirie pour la défense, soit d’un innocent, soit d’un accusé bénéficiant de tellement de circonstances atténuantes, qu’au bout du compte, la partie adverse abandonnerait la discussion ! C’est pourquoi, mon fils l’a compris bien avant moi, j’ai abandonné l’idée de  coucher sur le papier des pensées, qui, parfois, me dérangeaient.

 Peut-on écrire sans être totalement sincère ? Peut-on dévoiler le comportement parfois décevant de ceux que l’on aime ? Je ne le pense pas, en tous cas, pas moi ! Non seulement je ne le pense pas, mais, surtout, je ne le veux pas !

Et voilà où j’en suis de mes pensées cet après-midi.

 Vais-je retenter l’aventure ? J’ai bien envie d’ essayer. Après tout, je ne cherche pas à écrire un bestseller !

Pour commencer, je vais reprendre, recopier et retravailler ces feuillets oubliés  depuis plusieurs années au fond du tiroir.

 Ces instant que je viens de passer sur le clavier de l’ordinateur, me sont agréables. J’ai un peu l’impression de laisser mes pensées au fil d’un journal intime et de mettre en ordre les souvenirs d’une vie remplie, pour mon bonheur, par un dévouement sans faille au service de ma famille. Que voulez-vous ? J’ai toujours été une de ces indécrottables « femmes au foyer » et, chose qui peut sembler inimaginable à notre époque satisfaite de son sort !

Au seuil de mes soixante-dix ans, je peux assurer sans mentir, n’avoir aucun regret, et que, veiller au bien-être des miens a suffi à mon épanouissement.

 Bien évidemment, les années m’ont beaucoup appris et donné bien des leçons, mais je ne changerai rien à ma vie passée, même si j’en avais le pouvoir hormis, bien sûr, le seul évènement dramatique que nous ayons vécu et dont je parlerai plus tard.

15 mars 2013

Je me souviens de mes débuts de blogueuse....

Mercredi après-midi, le temps était gris et j'ai décidé de me la couler douce ! Robert de même !

Pendant que mon cher et tendre écoute les questions au gouvernement, ce qui me semble plutôt une succession de diatribes virulentes envers les uns et les autres, discours qui provoquent tour à tour, cris ou applaudissements des partisans ou adversaires de l'orateur qui essaie de garder la parole le plus longtemps possible, je me promène sur internet.

Et il m'est venu l'idée de retourner sur mes débuts de blogueuse; Ce n'est pas très vieux : début 2011. Je venais d'acheter mon ordinateur et j'avais très envie de l'utiliser; de pianoter allègrement,enfin,quoi, de jouer avec ce jouet nouveau pour moi.. J'ai donc commencé à écrire et raconter mes souvenirs. Enfin, les souvenirs de notre famille ! Puis, en furetant sur internet j'ai réussi à savoir comment ouvrir un blog. J'ai eu du mal, car, pour celà je ne voulais pas demander d'aide et garder mon blog comme un jardin secret. 

Pendant  longtemps je n'avais aucun commentaire mais ce n'était pas important pour moi à l'époque.

Puis, un jour, je suis allée sur les autres blogs pour voir, et j'ai osé commenter chez Liliplume et deux ou trois autres. Lili m'a répondu, Puis Ange étrange et j'y ai pris goût!

J'ai usé de Liplume lorsque je rencontrai un problème. Déjà je trouvais celà très sympa! 

Actuellement, j'ai le plaisir d'être lue et commentée par 9 blogueuses (r) et j'adore également les lire et les commenter..et même remonter dans leurs archives.

Je n'ai pas d'amie, j'ai toujours été trop prise par ma famille.

J'ai QUAND-MËME!  de bonnes relations avec mes voisins! Mais je parle plus librement sur mon blog !

Par exemple, si je déménageai, je ne verrai plus mes voisins tandis-que , emmenant toujours mon ordinateur, j'emmènerai mes amies (i) virtuelles (l) avec moi!!! 

C'est un sacré avantage !!

Tout celà pour dire que relisant mes premiers écrits (dont  j' ai fait un livre pour mes enfants et petits enfants) je me demande si je ne pourrai pas réediter mes toutes premières notes d'avant d'être Emiliacelina sur canalblog.

Lili et Lanacq les ont lues à l'époque mais, vous autres ???? 

Encore et toujours ce n'est que notre vie et celle de nos enfants ! Mais je viens de prendre plaisir à m'y replonger!

Franchement,que pensez-vous de cette idée ?

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14 mars 2013

Transplantation réussie !!

Vous souvenez-vous, l'été dernier, lors la construction de la maison du fiston à côté de la nôtre, bien que ce n'en soit pas la saison, j'avais insisté pour que Robert transplante le prunus qui se trouvait sur leur terrain à l'emplacement de la maison. 

Robert était persuadé que l'arbre allait mourrir. Pourtant, avec l'aide de Jimmy, il a fini par le déraciner et le replanter là où je le voulais. Perdu pour perdu! disait-il! 

Eh! bien, j'ai bien fait de m'entêter! Je n'y ai aucun mérite, c'est dans ma nature !!!

D'ailleurs, regardez mon arbre ,qui, aujourd(hui, pas rancunier du tout pour l'avoir fait souffrir, m'offre ces premières fleurs  pour annoncer le printemps!

 

prunus en fleurs 002

prunus en fleurs 003

En plus, le temps de la photo, malgré un vent glacial, le ciel était d'un magnifique bleu !!

Tellement bleu et ensoleillé que j'ai accepté l'invitation de ma petite-fille qui souhaitait emmener Lisa et Lana au zoo de Pessac, pas trop loin de chez elle.

Promenade relativement courte car dès 16 heures trente, après avoir assisté au repas des 2 beaux loups de l'antartique qui se sont vus chacun bénéficier d'un poulet entier sous le regard dégouté des filles, nous sommes rentrées car il faisait trop froid. Pas seulement pour les petites, pour nous aussi !

Mais elle étaient ravies et se sont endormies dans la voiture sur le chemin du retour.

Lorsque j'ai aidée Lydie à les dévêtir et les installer sur le canapé en tentant de ne pas les réveiller, elles

ont entr'ouvert les yeux pour me dire : l'une :tu restes manger avec nous ?  et l'autre : je t"aime ! toi !!

Je les adore , elles font mon bonheur, tout comme leur mère !

 

 

13 mars 2013

Vieux jeu , mes fils ?.....

Ce matin, le ciel est bas et gris. Hier, la météo a nnoncé de la neige jusqu'en Charentes. J'espère qu'elle ne va pas venir aussi en Gironde! Quoique, me dirait -vous, c'est juste de l'autre côté de l'estuaire! Je me souviens avoir vu neiger, chez nous, un jour de Pâques, mais je ne me souviens plus de la date exacte. 

Bon!  De toutes façons, on prendra la journée comme elle voudra bien venir, on n'a pas le choix! J'ai mis le nez sur la terrasse et ....ça pèle !!!!

Hier soir, le Fiston n° 2 Bruno, est venu souper avec nous! Il s'est partagé entre nous et son frère à côté, repas avec nous, café avec son frère!

Il en a profité pour m'apporter son linge car il n'est pas encore équipé dans son petit logement pour pouvoir s'en occuper lui-même! Je n'aime pas le voir avec sur le dos une chemise qu'il s'est lui-même repassée, c'est pas top !!! De plus, celà ne me coûte pas de le faire!!!  Il a tout laissé lors de sa séparation avec Nathalie, et quand je dis tout, ...c'est vraiment tout!!! Ce n'est pas pour rien que ses frères le surnomme l'Abbé Pierre! Je trouve que c'est mieux car les rapports ne sont pas tendus, après nous avoir quitté hier soir, il devait aller manger le gateau pour l'anniversaire de Louis 10 ans. Celà se passe bien au niveau des enfants, et c'est le principal!

Je sais qu'ils ont un comportement "intelligent" dans cette séparation, si l'on peut dire "à l'amiable" mais parfois, mon fils n'a pas l'air au mieux de sa forme, même s'il tente de nous le cacher le plus possible.

C'est la raison pour laquelle, son cousin Thierry et deux autres amis sont venus vendredi soir et ne lui ont pas laissé le choix : allez!  tu te prépares et tu viens avec nous! Tu ne vas pas rester tout seul à travailler! On te sort !!

C'est vrai que, son petit logement se trouvant au -dessus de son local de travail, il passe son temps à travailler, aussi bien le soir que le week-end !

Ils sont donc partis pour une sorte de bar où l'on peut manger jusqu'à 22heures, puis à cette heure-ci, retentit une sonnerie, les lumières se tamisent, le monde arrive, et la musique se met en route. Bruno nous a expliqué ça hier soir!

La majorité des personnes présentes est constituée de quadragénaires et plus, voire bien plus! Enfin, des personnes ayant (ou semblant) avoir plutôt bien réussis. Quoique, l'on peut toujoursse tromper, l'habit ne fait pas toujours le moine ! La preuve, mon fils n'est pas l'exemple de l'homme d'affaire bien nanti !

Je ne pense pas que Bruno soit prêt pour ce genre de soirée! La preuve!

Attablé au bar, devant sa coupe de champagne que ces amis avait commandée et le perrier que lui-même avait demandé, il a senti une main se poser sur son épaule et, se retournant il a vu une petite jeune-fille, lui semblant plus jeune encore que sa fille Margot, (donc sûrement même pas majeure!), qui lui a demandé :

-tu m'offres un verre ? 

-oui!

-oui? oh! Merci! Merci appuyé d'une attitude pleine de promesse ( ou d'espoir?) !

- et bruno lui a passé une coupe !

Elle l'a portée à sa bouche, et, ..

-Mais, c'est pas du champagne! C'est ...du perrier!

-Eh! Oui! C'est du perrier!

-Mais, pourquoi?

Pourquoi? Parce-que tu n'as pas l'âge de boire de l'alcool! Tu n'es même pas majeure!

-Presque!

-C'est bien ce que je dis! Alors tu prends ton perrier et tu rentres chez toi faire tes devoirs!

Plus tard, il l'a vue entourée de messieurs qui lui servaient de la vodka!

Il est écoeuré! 

Il parait qu'il faudrait, aux dires de certains, qu'il évolue!!!

Il aura du mal! Il a toujours devant les yeux, ses filles !! Et celà le perturbe!

Déjà que mes fils ont , comment dire, une tendance ....macho! Je ne trouve pas d'autre terme même si macho, me semble quelque peu exagéré, mais, ils ont un sens aigu de certaines valeurs, et à notre époque, c'est  difficile de vivre avec !

 

 

 

10 mars 2013

Je ne suis peut-être pas bon juge...mais j'en suis fière !!!

A la demande de Gwen voici duex photos du buste que le fiston a réalisé. 

Il ne s'est pas servi de matériaux de récupération, il a travaillé en partant d'une simple plaque d'acier . Découpée modelée  et  soudée, La seule chose que, je pourrai dire , il ait  récupére, c'est deux cuillères à soupe qu'il m'a piquées pour faire l'intérieur des orbites de son bonhomme ! Ah! oui! et le fil a plomb qui vient je ne sais d'où!

 

sculptureN)3

  

sculpture N° 2

Et comme je n'aime pas faire de jaloux, pour mon plaisir, parce-que je sais que je les avais déjà publiées auparavant , je continue avec deux peintures de Bruno fils N°2:

013

 

peintures2

J'aime mieux le bleu!  Chacun ses goûts!!!!

peinture bruno famille pascal 002

D'accord! J'en conviens!  Je ne sais pas si d'autres trouveront que c'est justifié, mais je continue par un peu du travail du  fils aîné, et ne comptez pas sur moi, pour faire la modeste hypocritement,. Eh ! oui!  Je crâne un max !!!

peintures4

pour le blog n°2 027

Voilà! Je me suis fait plaisir! Et encore , je me freine! Il y a des sujets , comme celui de cette note, où j'ai du mal a m'arrêter une fois commencé !Pardonnez ma fierté maternelle, même si, c'est plus fort que moi, je la trouve justifiée!!!

Bon dimanche !!!

7 mars 2013

Enfin! Du soleil......et le mari s'attrape la crève!

Une blogueuse (amie) dont j'aimais bien lire les notes et les commentaires,a fermé son blog. Peut-être qu'elle viendra quand-même lire les notes des uns et des autres habitués et intéressés par ce qu'elle devient. Alors juste ces quelques lignes pour lui dire que je lui souhaite le meilleur et espère, un jour , pouvoir la relire ailleurs.

Hier, nous sommes allés voir le fils aîné au centre équestre;

Sa copine devait venir vers chez nous pour un RV avec un spécialiste car elle a des problèmes de tyroïde. Il était convenu qu'elle reviendrait avec nous, je l'emmènerait à son RV, elle passerait la nuit chez nous et je la ramènerai au centre ce matin. Elle ne se sentait pas en état de conduire 200km. (aller retour)

C'est fait, elle était persuadée qu'elle allait devoir se faire opérer. Pas question pour le moment. il semble que finalement , se sont ses nerfs et le moral qu'elle doit soigner. Elle est fragile de ce côté là!  Elle a quitté son emploi au centre pour cause d'"incompatibilité" . Elle ne supportait plus l'ambiance.  Maintenant elle galère pour trouver un emploi et le moral n'est pas bon!

Heureusement le fiston, Eric, conserve son emploi. Celà lui convient. Ils sont logés sur le centre, et, si l'été, la saison (ils sont près d'une ville estivale) est très fatigante, elle ne dure que deux mois et demi! L'hiver, c'est trèèèès  trèèès  cool !!! Mais c'est assez désert ! Il faut aimer!

Lorsque nous y allons passer la journée, personnellement j'aime beaucoup, et puis, maintenant, la ville et les commerces à 12 km d'un côté avec une voiture, la distance est insignifiante!

L'été, la ville estivale, de l'autre côté, à à peine 4 km ,elle, est grouillante de monde et très fréquentée, en bordure de l'océan avec une plage magnifique .

Je l'ai ramenée ce matin comme prévu.

Donc, cet après-midi, j'ai pû voir à côté,(chez nos nouveaux voisins), le petit meuble que Murielle cherchait depuis plusieurs jours pour placer dans son séjour la sculpture acier que Pascal avait faite, il y a quatre ans. Elle l'a enfin trouvé, comme elle le voulait, je viens de le prendre en photo, mais je trouve que la photo ne donne pas l'effet réel., sa couleur se fond avec la tapisserie presque identique; Mais en vrai, je trouve l'ensemble très réussi!

meuble statues acier 005

C'est bien, ils commencent à fignoler la déco !! Même si tous  les cartons ne sont pas encore vidés.

Le peintre attitré, a presque terminé , il peauffine! Il a fait un travail magnifique! Son grand-père est admiratif et même un peu surpris par la qualité du travail. Quand au père, je ne vous dis pas! Il regarde son fiston avec une fierté ....... 

On commence à penser que Jimmy va repartir en Suisse, (certainement la semaine prochaine) et le temps de sa présence nous a semblé bien court!

Pour les détails, Robert n'aide plus. D'autant plus qu'il a dû prendre froid et ne se sent pas bien. 39°3 ce soir, demain je sens que je vais devoir me "bagarrer" pour qu'il aille chez le médecin! Je n'ai pas envie que son état s'aggrave durant le week-end! 

Je le connais, il va me dire comme d'habitude :

C'est rien! Ça va déjà mieux ! Ça va passer !

 

4 mars 2013

Une journée au soleil ...

Ah!! quel soleil magnifique ! Je ne sais pas si celà va durer, mais c'est une belle journée de prise.

Je prévoyais de rester tranquille à faire un peu de ménage, mais un temps pareil m'a donné envie de rester dehors. 

Comme il se trouve que pour pratiquer le jardinage (le jardin en aurait bien besoin)) je trouve que la terre est un peu basse pour moi, je vais laisser ce soin à Robert: Quans il aura fini de travailler avec le fiston à côté !C'est habituellement son travail.

Je me suis donc retrouvée dès quatorze heures, sur la terrasse des enfants tellement encombrée que l'on peut tout juste y circuler; C'est là que l'on a entassé ces derniers jours : les cartons des meubles de la cuisine, de l'intérieur des placards et ceux des portes coulissantes,, l'emballage des canapés , les chutes de carrelage, de menuiserie.......etc.... 

La terrasse comme la nôtre est orientée plein sud, j'ai même dû sortir ma veste , pour mettre à plat tous ces cartons, charger dans la voiture une montagne de polystirène,et tout ce que j'au pû porter sans risquer de me faire mal. J'ai ainsi fait quatre voyages à la déchetterie pendant que Jimmy a commencé à poser la tapisserie et que Robert et Pascal s'occupaient du meuble de la salle de bain.

Lorsque j'en ai eu assez, je les ai abandonnés et suis revenu prendre possession de mon canapé!

Je crois savoir, qu'ils se sont maintenant attaqués à l'installation des portes coulissantes des placards des chambres.

J'ai bien aimé cette après-midi au soleil! Ça fait du bien !!

Il arrive des fois , où, travailler est un plaisir !

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