la vie continue ... toujours !

Chaque fois que je passe sur la place de l’Étoile, je regarde l’Arc de Triomphe.
Chaque fois je me perds en conjectures devant les bas-reliefs qui en ornent les quatre piliers.
Mais vous ?
Qu’y voyez-vous ?
À quoi songez-vous ?
Pensez-vous à la bataille d’Austerlitz ou à « la pelle du 18 juin » que « le Petit Tondu » ramassa en 1815 ?
J’espère en savoir plus lundi…

Ben...non! Je ne pense pas à la bataille d'Austerliz en regardant ta photo! Tu vas penser que j'ai l'esprit mal tourné ou que je ne comprend rien à l'art...mais, pardon, une seule question m'est immédiatement venue à l'esprit en la voyant . Pourquoi n'y en a -t-il qu'un à poil ? 

...et pourquoi parmi la "foule" je n'en vois aucun qui lève la tête pour admirer le bas-relief? Bon! je me dis en voyant que certains portent un masque, que les passants ne sont pas d'humeur à admirer le travail !

Tu veux vraiment en savoir plus? On peut toujours imaginer... Imaginer ? Ça! Je sais!

J'imagine que la "miss" tout là haut qui pointe son glaive hurle :  A L'ATTAQUE!!!!! et qu'elle est tellement persuasive, que l'autre, là en bas, s'est senti tellement motivé  qu'il n'a même pas pris le temps d'enfiler son froc avant de la suivre !

156ème Devoir de Lakevio du Goût

Que peuvent se dire cette jeune femme et ce chat dans la toile d’Auguste Renoir ?
Je suis sûr qu’il y a une histoire à raconter.
Une histoire qui commencerait, comme beaucoup de contes de fée, par « Déjà petite elle savait qu’elle allait se marier avec un prince. »
Et si elle se terminait sur « Elle sourit alors à la pensée qui la traversa. »
À Lundi j’espère…

Pardon pour le retard.

"Déjà, petite, je savais que j'allais me marier avec un prince"

Pardon, mais là! Mr Le Goût tu exagères! Comment veux tu que je place une telle phrase? 

Je n'ai jamais rêvé de D'un prince! Pourtant ce que j'ai pû aimer les contes de fée!

Donc, ta phrase : tu l'as! Passons à autre chose! J'ai un devoir à faire!

V iens Minette, viens chercher les caresses que Mamie ne te fera plus jamais. 

Moi aussi tu sais elle me manque ...  Ne te débat pas, reste un peu avec moi. Ne passe pas ton temps à miauler et la chercher.

Maintenant , je deviens ta ma^tresse, je lui avais promis que je prendrai soin de toi en cas de problème. Je ne pensais pas que celà allait être si tôt!

Tu vas voir, tu vas t'habituer à moi, on se connait déjà puisque je venais tous les dimanche passer la journée ici  déguster les crêpes de mamie et lui confier mes secrets les plus intimes. Elle était si compréhensive devant mon envie de vivre un peu plus libre et me servait même parfois d'alibi lorsque j'avais un amoureux à voir en cachette de mes parents.

Je te raconterai mes secrets à toi puisqu'elle m'a laissé sa maison en héritage. Je vais me battre pour venir l'habiter et prendre enfin mon indépendance.

Et puis, qui sait... 

Elle sourit à la pensée qui la traversa :  peut-être que le professeur n'a pas tout à fait tort quand il parle de prince!

Hein ? tu en dis quoi ? Toi !

Ouf! J'émerge! Je sors d'une bonne crève! Enfin d'un rhume ...épuisant!  

Je lis que notre prof après nous avoir fait peur, est revenu dans de meilleurs sentiments: Il va continuer les devoirs du vendredi (ou lundi). Il a vraiment du courage, je me dis souvent que celà représente beaucoup de travail dit celle qui a fait souvent faux bond... pour un oui ou pour un non!

Puisqu'il est en vacances et que je n'ai pas grand chose à raconter, je me promène dans mon PC et , tombée sur un texte qu'avait écrit par  ma "Douce"  il y a quelques années...  Histoire de vous faire passer un petit moment!

Ma Douce, c'est ma petite-fille qui est maintenant cadre dans une entreprise taitant de "cyber criminalité" mais pas en tant que technicienne elle a commencé comme correctrice, puis vulgarisatrice littéraire et maintenant "product owner". Evidemment je lui ai demandé de me traduire: cela correspond à responsable de projet. Elle gère une équipe .de développeurs au niveau organisation/plannig). Lorsqu'elle est entrée dans cette société ils étaient 50. Ils sont maintenant 250. Elle s'y plaît bien.  Bref! tout ça pour dire que ce petit texte souvenir de son enfance date d'il y a longtemps, lorsque mon fils leurs avait donné une oie alors bébé....mais qui évidemment a bien grandit et prenait un malin plaisir à courser sa petite soeur!

J’ouvre la porte d’entrée doucement, pour qu’aucun bruit ne s’échappe de la poignée qui s’actionne et du trousseau de clés qui pend du verrou. Je ne me laisse qu’à peine un espace pour pouvoir passer : de cette manière, de loin, le mouvement de la porte paraîtra imperceptible. Il ne faut pas se faire repérer par ce qui se tapit dehors. Le corps à moitié dehors, je penche la tête pour observer les alentours. Rien. Je sors complètement et avance jusqu’au milieu du jardin comme en terre inconnue, le dos un peu voûté, le souffle de ma respiration aussi silencieux que possible. Je ne vois rien. Je n’entends pas un bruit.

Je me retourne. Comme je l’avais fait un peu plus tôt, la tête de ma petite sœur dépasse de la porte. Les sourcils froncés, les lèvres pincées par le sérieux de la situation. Je lui envoie le signal.

On avait convenu que même si le passage avait l’air sûr, elle devra courir aussi vite qu’elle le pourra. Pour se mettre à l’abris. Parce qu’elle finissait toujours par arriver pour la pourchasser.

Je vois le visage de ma sœur passer de l’inquiétude à la détermination. Elle s’élance. Déjà, elle ouvre grand la bouche comme si quelques foulées avaient suffi pour l’essouffler. Déjà je lui hurle d’aller plus vite. Déjà derrière elle se trouve la menace grise qui glisse sur le sol, les ailes déployées sur ses flancs comme une cape gonflée par le vent, le bec ouvert qui crie vengeance. Ma sœur court, elle y est presque. Je reste immobile et observe l’animal de cendre qui se rapproche, qui me dépasse dans un courant d’air. Ce n’est pas après moi qu’elle en a. Moi, je ne l’ai jamais plaquée au sol avec mes amis pour la caresser.

Dans une ultime enjambée, Marie se hisse en haut du toboggan, loin des coups d’ailes et des coups de becs. D’un pas rageur, Fifi lui tourne autour en s’ébrouant. Beuglant de dépit.

Décidément, les oies, ça a vraiment la rancune tenace.

Je m'en rappelle, sacrée FIFI!  La petite sœur était terrorisée! 

Bon! canal est plus têtu que moi. Un coup ça marche et un autre rien à faire! 

Je tente une note puisque impossible de commenter! Ça m'énerve...mais ça m'énerrrrrve! 

Il fait un temps magnifique ... quel plaisir d'ouvrir la baie vitrée en gand et de laisser pénétrer le soleil!

Je garde ma petite fille qui lorsqu'il fait un froid de canard veut toujours aller jouer dehors et qui, aujourd'hui ne veut pas sortir!   Je vous jure! Elle me met un souk pas possible!

Mais bon, c'est le dernier jour que je la garde demain elle reste avec sa mère! Elle n'est pas difficile à garder, il suffit d'écouter les histoires qu'elle se raconte en faisant parler ses play mobils! Elle a une imagination débordante!  alors... je ne fais pas grand chose de la journée, je préfère même éteindre la télé!

Sa mère a acheté un cahier de devoirs CP et elle doit faire une page chaque jour. Il est l'heure où on va s'y coller. Le début de l'année a été difficile mais elle a l'air de mieux appréhender le travail scolaire.  Par contre elle a une très jolie écriture quand elle est décidée!

Qu'est-ce qu'il faut avoir comme patience!

Je n'écris pas davantage parce-que je ne suis pas sûre de pouvoir publier! ....J'y vais ! Je clique !

Bon! J'abandonne! 

Canal  ou mon PC   ou alors c'est moi  ne veut plus prendre mes commentaires. Alors je tente de faire un "nouveau message" pour voir ce qu'il en est!

Allez: c'est parti! J'envoie "publier!

Cette photo me serre le cœur, il s’en dégage une impression, que dis-je des impressions diverses et opposées.
Mais à vous ?
Qu’inspire-t-elle ?
Bah… On verra ça lundi…

Mais non! Le Goût! Il faut rêver malgré tout!  C'est nous qui rendons nos maisons même d'apparences trristes , heureuses par les souvenirs qu'elles ont abrités et dont on se souvient avec émotion!

Qu'est-ce que je suis heureux! Vraiment!

Lorsque au cours de nos pérégrinations avec mon camping-car, nous avons fait un arrêt dans ce village perdu au fin fond de la campagne( pour cause de panne), je me suis dit: on ne va pas se presser, on va profiter du calme et je vais me débrouiller pour faire la réparation moi-même. Ce ne sera pas la première fois. Ç'aurait été bien plus contrariant si la panne était survenu lors de la traversée d'une ville!

J'aime la campagne et ma copine aussi. Mon rêve a toujours été de vivre au plus près de la nature et près de gens simples. Il m'est arrivé un jour d'orage de m'enliser.. Un brave paysan qui passait sur la route sur son vélo m'a dit:"ne t'inquiète pas "drôle" je reviens avec mon tracteur!"

Vingt minutes plus tard il est revenu mais sur le tracteur ils étaient trois! Ils m'ont sorti de ce mauvais pas rapidement et le propriétaire du tracteur nous a proposé de faire une halte chez eux si on le voulait.Nous nous sommes garés près de sa grange et l'avons suivi. Il nous a fait visiter sa ferme et son élevage de chèvres. Ma copine était ravie et moi aussi. Nous avions devant les yeux l'exemple même de la vie que nous voulions...espérions   mener un jour.

C'est resté un rêve. 

Donc, pour revenir  au début , le village où nous sommes tombés en panne ne doit compter que très peu d'habitants.

Nous y sommes restés trois semaines. J'ai effectué la réparation sympathiques. J'ai même travaillé chez lez uns ou les autres.

Du coup, nous avons beaucoup parlé et nous sommes beaucoup promenés aux alentours. C'est ainsi que nous avons vu cette maison isolé.. Les villageois la connaissent bien. Elles appartient au maire mais elle est plutôt abandonnée. 

Lorsque je lui ai dit qu'un jour j'espère vivre dans un village comme le sien, il m'a dit: Si tu veux y rester quelques temps tu peux y aller , il n'y a pas de clé, elle appartenait à mon grand père , elle ne vaut plus rien!

Evidemment, nous y sommes allés tous les deux ma copine et moi. Je suis maçon et le travail ne me fait pas peur, et je m'y connais, certes, la maison est vieille et abandonnée mais dehors il y a un puits. et les bases sont saines.malgré tout! 

Nous nous sommes placés à l'intérieur et laissant la porte ouverte sur le soleil nous nous sommes laissés aller à rêver!

Le soleil éclairait l'intérieur balayant d'un sel coup toute la tristesse provoquée par l'abandon!. Nous y avons vu comme une ouverture pleine de promesses lumineuses... de joie de vivre.Mon amie élèverait des chèvres dans la grange que l'on appercevait, je travaillerais chez les paysans dans mon métier si c'était possible ou aux champs et ...le reste du temps je la retaperai  cette maison à commencer par la toiture et puis...et puis... Nous nous sommes dit : que un jour peut-être...on pourra...nous avons rêvé!

Tout çà pour vous dire pourquoi je suis si heureux ? Enfin, pourquoi nous sommes si heureux? 

Parce-que, voyez-vous , il arrive que les rêves se réalisent. Je vous passe les détails mais, au final, le maire nous vend cette maison avec un bon lopin de terre pour une misère. Nous ne sommes pas riches mais il est prêt à nous accorder de grandes facilités. L'idée qu'un jeune couple puisse lui redonner vie le rend heureux. Il vit seul ayant perdu son épouse il y a bien longtemps et n'a pas d'enfants. Il nous a pris en amitié. Nous ne seront pas ingrâts.

Cette maison abandonnée, nous allons lui redonner la joie de vivre...Cete porte ouverte sur la luminosité du soleil est une ouverture pleine de promesses!*

Alors! Oui je suis heureux!   Heureux et amoureux...Nous changeons nos projets... peut-être ferons nous enfin un enfant...ou plusieurs! l

.

Parfait: pas de devoir cette semaine..

Comme je n'aurais pas eu le temps d'écrire je me sens moins coupable!

Nous avons fêté les treize ans de mes petits cœurs. 

Chez moi. J'y tenais.Cela devait être la semaine dernière mais suite à l'aventure du fiston j'avais repoussé.

Elles n'étaient absolument pas au courant. Par contre leur mère était ravie.

Mumu (belle fille voisine avait en chargele choix la déco.) chacune a eu sa table selon ses couleurs préférées: bleu et argent pour l'une, vert et or pour la seconde. Fleurs préférées orchidée et tournesol... confection des gateaux de leurs bonbons préférés.

Une fois descendu du plafond les ballons ont eu beaucoup de succès!

Après l'arrivée de leurs cousines.

 La surprise a été totale ,les pauvres nous en ont laissés tous décontenancés devant leurs émotions et leurs efforts pour retenir leurs larmes. Pour un peu nous aurions presque eu envie de les réconforter!

Mes fistons au complet. Je ne trouve pas utile de les flouter: celui qui voudrait me les kydnapper aurait du fil a retordre! 

Ils n'ont pas cessé de se tordre de rire! C'est à chaque fois pareil dès qu'ils sont ensemble. Les pires meilleurs moments de chacun sont rappelés à notre souvenir...tout le monde y passe le plus souvent pas à son avantage!  Aucune discussion sérieuse!

En plus mes petits-enfants m'ont fleurie!

Ah ! Que j'aime avoir mon petit  (25 quand-même) monde auprès de moi !

Avant de partir mes petits cœur rassérénées n'ont pas ménagé leurs remerciements! 

 Petit texte pour chacune                                                                                                      

   Pour ton anniversaire                                                           

   Que peut-on dire pour te plaire ?

   Devant tant de perfection, nous restons béats d’admiration.

   Quelle est donc la bonne fée, qui, sur ton berceau s’est penchée

    Pour te doter de qualités qu’aucun d’entre nous ne peut nier ?

   Indécis, nous avons, parfois, du mal à l’admettre :

   Quelqu’un alors demande : Qui est LISA ? Qui est LANA ?

   Qu’importe ! Puisqu’il faut bien le reconnaître

    Nous avons tous le cœur bien assez grand

   Pour vous aimer chacune tout autant !

   COUSINS, COUSINES, ONCLES, TANTES ET MAMIE

   Sont aujourd’hui tous présents

   Heureux de fêter tes treize ans !

   Ne change rien à ce que tu es : parfaite !

   De qualités tu as déjà bien assez fait la cueillette.

   TOI et ta sœur, restez tout simplement les mêmes :

   PUISQUE C’EST AINSI QUE L’ON VOUS AIME !

   TRES BON ANNIVERSAIRE ET MILLE BAISERS DE NOUS TOUS

Un petit message.

Je n'ai pas fait le devoir.

Week-end chamboulé. Le fisron ("voisin") nous a fait peur. Mais je vous le dit de suite , tout est bien qui finit "bien".

Mais vous savez lorsque l'on a quelqu'un qui a un problème et que le médecin du SAMU vous dit" conduisez le immédiatement aux urgences",ne perdez pas de temps. et qu'ensuite il faut attendre attendre ...et que je reste à la maison (guère le choix!)   ça me "fiche en l'air"!.

On va continuer d'autres examens mais il est rentré chez lui.

...  évidemment c'est une affaire à suivre... en s'orientant peut-être du côté neurologique  ou occulaire... bref! Il nsemble ne pas y avoir le feu!  

mais... dans ce genre de situation je ne vaux pas grand-chose... Pour moi, je suis très facile...mais les enfants et petits-enfants ...c'est autre chose!

Le musée des Beaux-Arts de Nancy expose cette toile d’Émile Friant.
Cette interprétation domestique de « La naissance de Vénus » semble dévolue, au premier abord, à la stimulation d’un amant peu assidu.
Seulement voilà, j’ai vu quelque chose dans cette toile qui m’a amené à me poser des questions.
De moi, je suppose que ça ne vous étonne pas…
Encore que non, n’allez pas penser à des histoires de galipettes, non, pas du tout.
Mais vous ?
Qu’y voyez-vous ?

Dieu qu'elle est belle !

Déjà  son sourire mutin m'a séduit... alors je lui ai demandé le plus respectueusement possible si elle voulait bien poser pour moi. 

Je vous jure que j'y ai mis les formes..sans compter le promesse d'un bon dédommagement financier...

Elle a fait sa mijauree... et puis elle accepté  quand je lui ai affirmé avec le plus de conviction possible que sa beauté  n'interressait que l'artiste, le peintre de renom  que je suis, pardon, que vais devenir grâce à  sa beauté. .

Je suis même allé jusqu'à l'appeler "mon petit" le plus "paternellement"  possible ! 

Je vous jure ! Qu'est ce qu'il ne faut pas faire pour parvenir à  ses fins !

Il est fort quand-même,  ! Sauf qu'il croit avoir affaire  à une cruche qui arrive de sa campagne, parce-que si je suis jeune,fraîche et belle...

Je ne suis pas née de la dernière pluie... J'ai immédiatement vu en lui le fils de bonne famille qui veut se la jouer artiste!

Je ne lui donne pas huit jours avant qu'il me mange dans la main!...Que dis- je? Huit jours? VU comme il joue avec son pinceau.. (sans jeu de mots) ça pourrait aller encore plus vite !

Je prends mon temps : avec le paquet de frou-frou que je me trimballe pour être  à la mode j'ai le temps de lui jouer "alouette,gentille alouette...alouette je te plumerai" à  chaque fois que j'en balance un sur le fauteuil!  ...   j'ai terminé par le chapeau et il y a longtemps qu'il a nerveusement   défait sa cravate....  j'espère qu'il n'est pas cardiaque...  parce que pour qu'aujourd'hui modele il me croit...modèle je reste !

Il attendra encore quelques séances de poses avant que je ne sois  vaincue par l'amourqu'il me porte...etc...etc...

Je perd le nom que je porte si, cette fois je ne finis pas par me faire épouser  !

A votre avis.. qui va l'emporter?