Allez!!! Un peu de lecture !
On paresse... on dit que les blogs ne sont plus ce qu'ils ont été. On se plaint ... mais on n'en fait pas plus pour çà!
En fait, notre vie s'écoule et l'on ne sait pas trop quoi écrire. Il faut dire que rien que d'écouter les infos on a le moral dans les chaussettes.
Pas moi, le moral ...ça peut aller! Je l'ai déjà dit souvent tant que mon monde (c'est à dire enfants et petits-enfants) sont en" bonne santé" je n'ai pas à me plaindre! Je mets bonne entre parenthèses parce-que bien sûr il y en a toujours un qui a un "truc" mais tant que ce n'est pas grâââve...on fait avec , ça passe!
Pas grand chose à raconter : ce dernier week-end c'était l'ouverture de la pêche et nous avons le lendemain fêté l'anniversaire de ma belle-fille voisine. Inutile de dire que la soirée a été plus courte que d'habitude lorsque l'on est tous réunis.
Du coup, comme je n'ai pas grand chose à vous raconter je vous copie la page du journal familial que j'ai tenu pour mes enfants durant les deux dernières années.
Hé! Je ne me force pas trop...hop ! un copié collé ...Mais c'est mieux que rien NON?
Lundi 28 Novembre 2022
Mumu reprend le travail. Elle se traîne encore un peu… mais quand il faut… il faut ! Pascal vient boire un café. 1ère sortie. Jimmy se joint à lui. Comme par hasard ça discute pêche. Bruno arrive à son tour. Tournée générale de café. Je les écoute. J’aime bien les écouter. J'apprends toujours quelque chose de nouveau que je n'avais pas su avant. Il leur arrive toujours une « aventure » et je n’en suis pas toujours mise au courant immédiatement si ce n’est pas vraiment important. Aujourd'hui ne déroge pas à la règle. Après une journée sur le lac, en rentrant au port il se rend compte que son emplacement surveillé (qui lui coûte un bras) à l’embarcadère est utilisé par un autre bateau. Pascal est furax. Il affirme fort et d'un ton sans réplique à la capitainerie que SI, je le cite : « Si la moindre petite boîte d’équipement OU QUOI QUE CE SOIT ! est dérobé cela leur coûterait cher ! » La CAPITAINERIE promet de s'occuper du problème. Au prix des emplacements c'est la moindre des choses ! Pascal repart contrarié et inquiet de savoir son bateau en zone moins surveillée. Sur le chemin du retour un appel du responsable lui demande expressément sans plus d’explication, de revenir au port. Bien sûr, il fait demi-tour. En entrant dans le bureau de la capitainerie il est accueilli par de grands sourires (moqueurs ?). - AH ! Re-bonjour ! Alors le numéro de votre emplacement… C’est bien le 75 ? - Effectivement. - Mais… Votre emplacement est libre… - ? - Vous avez dû confondre avec le numéro 74 qui lui, est occupé normalement par un autre propriétaire !
Il n’a plus eu qu'à repartir… en s'excusant ! BON ! En relisant ces lignes je me dis que j’aurais pu faire plus court… mais vous savez bien que quand je raconte quelque chose… on ne sait jamais ni où je vais aller ni quand je vais finir… mon histoire ! En plus, je sais que ça vous énerve parfois ! Si ! Si ! Ne dites pas le contraire !