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la vie continue ... toujours !
25 mai 2020

40ème devoir ....

40ème devoir de Lakevio du Goût

devoir de Lakvio du Goût_40.jpg

Mais que diable peut-il bien lui raconter ?
Où veut-il en venir.
Qu’attend-elle ?
Que pense-t-elle de sa ballade ?
À l’instant je n’en sais rien.

Grâce à vous j’espère en savoir plus lundi sur ce que vous inspire cette toile d'Aldo Balding.

Aujourd'hui, je sais bien que j'ai un devoir à rendre.... Mais...Tout bien réfléchi... il fait si beau ! 

Le prof  nous demande :

-"mais que diable peut-il bien lui raconter ?".

Je suis de nature discrète, je n'écoute pas les conversations des autres.

-"Où veut-il en venir?"

Alors là j'ai bien ma bien ma petite idée. ! Pas vous ?

-"Qu'attend elle ?"

Peut-être rien .... ou beaucoup !

-"Que pense-t- elle de sa balade ?".

-"A l'instant je n'en sais rien ! D'ailleurs où est-il question d'une balade?

Et bien , Monsieur le professeur , moi non plus ! Parce-que, voyez vous, il est des moments dans la vie où l'on ne peut faire plusieurs choses à la fois!

Pour l'instant .....je me repose ! 

 

IMG_20200521_1510401

 

Piégée par ma belle-fille qui m'a photographiée à mon insu !

 

 

 

 

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20 mai 2020

Visite et repérage...

dimanche nous sommes allés à Soulac. Confiné dans sa propriété le fiston aîné ne nous avait pas vus depuis plus de trois mois. Son entreprise l'a averti qu'elle fermait non seulement durant le confinement mais définitivement. Résultat, à 57 ans il se retrouve au chomage pour la première fois de sa vie! Il ne s'est déjà pas remis du décès de son père, là : il était au "34ème dessous". Sa compagne s'inquiétait un peu.

Notre venu : ses deux frères , Mumu et moi lui a remonté le moral. Il n'a pas fallu très longtemps. La journée a été très agréable et j'ai promis d'aller les voir dès jeudi, soit demain. J'y resterai quelques jours. Je verrai ...

Les garçons et Mumu sont allés se promener au fond du terrain, là où se trouve la tonne de chasse. En fait de tonne c'est carrément un petit logement de 6 couchettes, super bien aménagé. Ils en ont profité pour se consulter et choisir en parfait accord, de l'autre côté du petit lac, l'endroit où Eric va planter l'arbre autour duquel nous répandrons les cendres de Robert lorsque la situation permettra que la famille au grand complet puisse se déplacer. C'était prévu pour juillet mais par sécurité ce sera peut-être en septembre. 

Ce sera évidemment un moment difficile mais nous serons tous ensembles et il faudra que les souvenirs évoqués ne soient pas tristes. On se promet que nous ferons de cette journée un souvenir inoubliable. C'est ce qu'il aurait voulu.  On fera des grillades et même si nos yeux se mouillent on rira C'est promis.

De loin,, sur la terrasse de la maison où j'étais restée avec Sylvie la compagne du fiston aîné,nous regardions leur petit groupe minuscule (c'est assez loin de la maison) qui discutait âprement. 

J'ai tenté de prendre une photo mais c'était trop loin pour mon appareil, alors, même si elle n'est pas très réussie je vous montre l'endroit en question que Sylvie avait photographié un jour où justement y jouaient les chevreuils.

20200428_042342(0)

 

Je viens de retrouver une photo où l'on voit mieux l'endroit vu de près  et montre combien mes fils connaissent  les goûts de leur père et son amour de la nature!

SANY0068

Quand nous sommes partis Le fiston était "reboosté" !  

18 mai 2020

Leçon de vocabulaire...

Devoir de Lakevio du Goût_39.jpg

Cette femme attend, mélancolique.
Dites moi, lectrices chéries.
À quoi pense-t-elle ?
Dans votre histoire il y aura ces dix mots :
- Bibi.
- Légèreté.
- Trait.
- Tomenteux.
- Envie.
- Nourrain.
- Gypaète.
- Nyctanthe.
- Physique.
- Nuage.

Pourtant j'avais demandé pitié.

Ah ! Bon! J'ai l''air mélancolique ?

Je ne suis pas d'accord ! Regardez bien cette moue boudeuse et ce sourcil froncé.... Je suis contrariée!

Que sont ces mots choisis par le prof pour ce devoir de Lakévio.... du Goût !

Par exemple : gypaète ??? A l'aide internet !

Est-ce que j'ai une tête de gypaète ? Non, mais, que vient  faire  ici ce vautour qui se nourri principalement d'os !   ....Beurk !

A la limite je veux bien tolérer qu'il ose parler de Bibi concernant l'adorable chapeau qui m'a coûté un bras ou  qu'il ose utiliser le terme tomenteux  pour ma fourrure si douce  (j'espère très fort qu'il parle de ma fourrure et non pas de ma personne , parce-que, voyez-vous: je suis la reine de l'épilation !) .

 Il ne s'imagine pas que si j'avais mis une pièce dans mon petit nourrain chaque fois qu'un homme a eu la légèreté de me faire compliment  (en forçant un peu trop le trait sur mon, physique  qui lui donnait des ides) je serai riche depuis longtemps !

J'ai plutôt envie de rester sur mon petit nuage et tel le nyctanthe jasmin d'arabie (ou arbre triste) prendre l'apparence du sommeil durant le jour !

Et ! Oui ! Encore une fois internet est passé par là ...Parce-que ...hein ... ...Nyctanthe ... quand-même !!!!!

Cependant merci pour la leçon .

 

13 mai 2020

Une brève de ma Douce...

J'adore de temps en temps lire une brève que se plaît à écrire Margot, ma petite fille que j'appelle ma Douce.

Je vous en fait profiter....   par petite touche je revisite ainsi (avec grand plasir) quelques uns de ses souvenirs d'enfance.

Evidemment, j'aime beaucoup la lire... je suis même très fière d'elle; et flattée qu'elle veuille me communiquer ses "brèves" en me demandant mon avis !


Elle est particulière cette odeur, celle de la forêt.
S'y mêle l'effluve des chênes, de l'humus, des fougères, de l'humide et du froid. Il n'y a pas de chemin. Je ne fais que suivre les déambulations de mon père à travers les arbres. Lui aussi a une odeur, une odeur qu'il n'a pas d'habitude. Ce sont ses vêtements, ce sont ses bottes, c'est son fusil : c'est l'odeur de la chasse. La chasse, avec lui, ressemble à une longue, une très longue ballade. On vient quand le jour n'a pas encore percé, on passe à travers champs et on finit par atteindre cet étrange endroit. Immense mais vide. Le monde ne s'y résume qu'à une vaste étendue d'obscurité où l'on perçoit à peine quelques ombres chinoises. Point de bruit si ce n'est le craquement des feuilles mortes sous nos pieds qui ressemble à un hurlement. Et lorsque les premiers rayons de soleil finissent par éclaircir lentement le ciel, que l'on promène son regard autour de soi, on n'a pas l'impression d'y voir beaucoup plus clair. Seuls au beau milieu des arbres dégarnis, la brume blanche engloutit tout, efface de notre vision ce qui existe. Etrange sentiment que celui de se trouver au centre d'un horizon infini.

Il n'y a pas de chemin, mais il semble savoir où nous sommes et où nous allons. Je suis son sillage à travers les ronces et les broussailles. Même s'il écrase la végétation devant moi, mes bottes s'empêtrent, mes manches se mêlent aux épines, des branches menacent mon visage. Jamais je ne pourrais survivre seule dans une forêt. Il me porte pour passer par-dessus un fossé plein d'eau et j'ai le sentiment de franchir une frontière. Peut-être, peut-être qu'il y a quelque chose au-delà de ça, quelque chose de différent. Un mystère à peine palpable jusqu'alors, disséminé en indices, mais qui trouverait son sens, ici. Le mystère de la forêt au-delà du fossé. Je lève mon regard, je m'attends à le voir surgir sous mes yeux. Je ne vois que les arbres, je n'entends que le vent. Mon père continue d'avancer, indifférent à ce qui aurait dû se trouver là. Et pourtant, j'espère, je me retourne, je tends encore l'oreille, je donne une dernière chance à ce lieu de me délivrer son secret.

Un coup de feu. On ne dit jamais combien le bruit d'un fusil est retentissant. Combien il résonne en échos pendant plusieurs secondes dans l'air, dans les poumons et dans la gorge. Combien l'odeur de la poudre prend aux narines, humide et tenace. C'est si fort que son existence se prolonge de quelques secondes à travers nous. Je tiens l'oiseau dans mes mains. Il ressemble à un rougegorge.
« Il ne faut pas le laisser souffrir. »
Et ce fût la fin. Un gros pouce appuyé sur une petite trachée, et c'était fini.
J'aurais aimé le garder.

Lorsque j'imagine la mort, je vois une vieille, une très vieille personne. Heureuse, lucide et entourée. Je la vois s'endormir dans un fauteuil pour ne plus jamais se réveiller. La mort ne doit pouvoir être qu'ainsi. Apaisante. Mais quelque chose dans cette image me glace, car si l'inconscience ôte toute douleur, il doit être terrible de ne pas savoir que l'on meurt, de ne pas sentir le passage. De ne pas savoir que là, dans la minute, on n'existera plus. Que ce souffle sera le dernier. On cessera, tout simplement. Ces pensées sont affreuses, car j'ai déjà l'impression d'y être. En un clignement de paupières, mes cheveux seront blancs, ma peau sera ridée. Qu'aurai-je fais alors ?

Mais déjà ces pensées s'évaporent, car une fois l'oiseau disparu dans la poche à gibier, nous continuons de marcher dans cette forêt sans chemin.

Et le retour est abrupt.
De l'immensité des bois, de l'océan des champs, du ciel bleu et lisse qui s'étend sans fin au-dessus de nous, il s'agit alors de s'enfermer dans la carrosserie étroite de la Renaud 19. Le pare-brise poussiéreux dénature les couleurs percutantes du réel. Le vent, chargé de tous les parfums environnants, ne passe plus. Ici, il n'y a plus qu'une odeur épaisse de chien mouillé. Le ronronnement du moteur et le brouhaha éraillé de la radio.
Mais c'est bien aussi, d'être ici. Ça fait partie du processus : le beau et le reste. La voiture, la ballade, la chasse, la voiture, la maison. Dans la cuisine, on arrache les plumes, on enfonce les doigts dans le cul jusque dans l'estomac, on les retire pleins de sang et de tripes. Et on recommence. On brûle le duvet à la bougie. On laisse le reste à ma mère le temps d'aller prendre un bain.
C'est ainsi que ça se passe.
Un repas, la télé, un feu de cheminée.
J'ai cinq ans.

Je lui ai fait remarquer que , à mon avis, son père n'avait sûrement pas gaspillé une cartouche sur un petit rouge-gorge, il n'en serait plus rien resté.

-"Mais, mamie, il faut te mettre dans le contexte, à cette époque tout petit oiseau de nos forêts était pour moi un rouge gorge lorsque je voyais son plumage rougi de sang, celà me paraissait évident. " !

Je ne verrai plus jamais les rouge-gorge de la même façon ! 

 

11 mai 2020

Le jeu du bouchon...

 

 

devoir de Lakevio du Goût_38.jpg

38ème devoir de Lakevio du Goût.
En cherchant chez Harold Harvey une œuvre qui au moins m’inspirerait pour le « devoir de Lakevio du Goût », j’ai vu celle-ci :

Elle a immédiatement attiré mon attention car elle est liée à un souvenir qui aujourd’hui me fait sourire mais qui m’a terriblement mortifié et frustré quand est survenu l’évènement.
Je suppose que vous aussi aurez quelque histoire à raconter à propos d’enfants, de jeu de billes ou simplement de campagne…

Souvenirs...Souvenirs...

Bien évidemment, ayant trois frères plus agés que moi , je me souviens de leurs parties de billes. Il faut croire qu'ils étaient bons à ce jeu car je revois encore les boîtes métalliques" vides des gâteaux secs qui n'avaient pas fait long feu devant les goinfres que nous étions) maintenant remplies à ras bord de ces billes colorées. Je savais bien que ce n'était pas ma mère qui les leurs avait achetées. Elle avait dû en acheter un petit sac à partager et leur adresse avait rapidement fait fructifier leur petit capital jusqu'à en remplir trois de ces boîtes qui s'étant révélées vite  trop petites avaient été remplacées par un seau.

Mais, le souvenir qui me revient aujourd'hui ne concerne pas le jeu de billes. D'ailleurs, même à l'époque je dois avouer que je ne me sentais guère concernée étant plus  plus jeune que mes frères j'étais davantage intéressée par mes poupons.

Les billes, c'était quand ils n'étaient que des gamins et moi une petite fille.  Puis, nous avons grandi  et les jeux ont changé. Enfin, changé...un peu. Ils ont délaissé les billes pour les "piastres". Vous ne connaissez pas 'les piastres " et le jeu du bouchon ?

 C'était des "rondelles" de plomb, d'environ entre 0, 5 et 1 cm d'épaisseur et 8 cm de diamètre. Je me souviens que pour celà, ils faisaient fondre des morceaux de plomb récupérés ici ou là et versaient le liquide brûlant dans une boîte de cirage vide. Une fois refroidi l'on obtenait une piastre. 

Nous avions un jardin partagé en deux par une allée de peut-être 30 mètres de long  et un mètre (à peu près!)... de large. D'un côté des massifs de fleurs, de l'autre des légumes divers,un magnifique figuier au tronc énorme, au fond un poulailler et des cages à lapins...bref...les souvenirs me rattrappent !

On pouvait alors soit jouer simplement avec les piastres qu'il fallait lancer le plus près possible du trait tracé en travers de l'allée, soit, et c'était le plus souvent, ils traçaient un cercle au centre duquel ils plaçaient un "bouchon" (en fait un bout de  manche à balai scié de ...peut-être 20 cm  ) sur lequel chacun plaçait sa mise en équilibre : une petite pièce. Ensuite, à une distance de..(j'sais plus combien) il fallait "décaniller(on disait çà, je ne sais pas si c'est vraiment français mais c'est n mot que nous utilisons toujours.) le  bouchon en lançant les piastres. Le tireur récupérait les pièces qui étaient tombées hors du cercle tracé sur le sol. Celles qui restaient à l'intérieur étaient de nouveau placées sur le bouchon avec les nouvelles mises de chaque joueur. Parfois celà faisait une sacrée hauteur... et la partie reprenait !

Ma mère partageait ces jeux. Elle adorait jouer avec ses fils qui n'était pas mécontent de lui piquer ainsi quelques pièces, même si elle n'était pas vraiment maladroite, au final, elle n'était pas gagnante.

Je me souviens surtout de ce jeu parce-que, même quand mes frères sont devenus de jeunes hommes et que Robert ayant enfin le droit de  venir chez moi se joignait à eux, je passais mon temps à les regarder jouer. Evidemment, je ne pense pas qu'il venait spécialement pour cela, mais ...faute de mieux ! ...

C'était quand-même de bons moments....

 

 

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6 mai 2020

Il leur disait...

Il leur disait souvent : quand votre mère et moi ne serons plus là, conservez les liens qui unissent notre famille. Privilégiez les réunions familliales telles que celles que nous avons toujours tant aimées. Ne laissez pas le temps distendre les liens fraternels que nous avons tenu à vous inculquer tout au long de notre vie.

Ce n'est peut-être pas textuellement ses phrases, mais en substance c'était son soucis principal. Que cet amour familial qui nous unit et dont il était si fier, perdure quand nous les aurions quittés.

Il est parti le premier. Le père, le Patriarche, le modèle, laisse un vide énorme qui les rapproche encore plus. 

Alors ils ont décidé que, selon le principe des"cousinades" ils allaient programmer une " R....nade" tous les trois mois. L'idée est venue de l'épouse du plus jeune.  La première réunion de toute la famille  sans le chef du clan,était prévue pour le début mai.

L'ouverture de la pêche étant annoncée pour le 2 mai, nos pêcheurs avaient constitué des équipes qui seraient partagées aprrès tirage au sort dispachées sur les trois bateaux. Ce serait un concours qui avait été programmé lors du réveillon de Noël. Les perdants devraient assurer le service du repas du lendemain ... Les prises seraient pesées, comptées, mesurées. 

Les coupes que ma belle-fille avaient achetées en cachette pour les deux bateaux vainqueurs et la toute petite pour les perdants (ironiquement à peine 5 cm) découverte lors d'un vide grenier, sont toujours cachées dans le pacard. Avec le confinement, pas d'ouverture de pêche, pas de réunion.

La prochaine, R....nade" est prévue pour la mi-juillet .... chez  le fiston aîné à Soulac .Elle est particulièrement  importante . 

D'une certaine façon, nous serons tous là ! VRAIMENT TOUS ! 

Si les circonstances nous le permettent ....

 

 

4 mai 2020

Bizarre

devoir de Lakevio du Goût_37.jpg

Bien que nous soyons le 1er ami, jour chômé par excellence, je vous propose ce devoir pour lundi.
Magritte avait eu vent du « Covid-19 » j’en suis sûr.
Les amants qu’il a peints en sont la preuve.
Quelle sensation peut laisser un baiser quand on respecte les « gestes barrière » ?
Imaginez donc la chose.
Tentez-la.
Puis supputez ou racontez l’effet du coronavirus sur ce baiser.
Surtout un baiser « protégé » de cette façon…
À lundi…

Bizarre !

Pour un tableau bizarre   : il est bizarre ! Enfin, je le trouve bizarre. Mais je ne suis pas experte en beaux arts,  loin s'en faut !

Ce serait un tableau récent, je comprendrai...  Comme l'imagine  notre cher professeur, inévitablement notre esprit s'égarerait  et  penserait  coronavirus!

Mais ce n'est pas le cas: alors à quoi pensait le Sieur Magritte en peignant ces amants?  En toute franchise je suis très curieuse de le savoir. Il doit bien y avoir une raison...une explication ! 

Quoiqu'il en soit, cette toile, au premier abord me dérange! L'inconnu est déjà dérangeant et inquiétant en règle générale...alors imaginer un baiser ainsi protégé ? Curieux!

...Curieux et gênant.... Déjà que sous un  simple masque en tissu de ma fabrication je manque de souffle....  

Je ne parviens pas à  imaginer une histoire d'amour... ou alors se serait une histoire ... glauque. Et ça, je ne sais pas le faire . 

Bref ! En un mot comme en cent , vous l'avez compris, ce tableau ne me plaît pas !  

 

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Après les enfants , viennent les petits enfants, et tout recommence pour le bonheur des grands_parents ! La vie continue et on vieillit un peu moins vite!!!
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